Levé toujours 7heure : au japon c’est comme à l’armée. La levée des couleurs en moins.
Petit déjeuner toujours japonais (les articulations nous font tous autant mal !).
Aujourd’hui nous prenons la direction d’Aso-San, une gigantesque caldeira de 128 km de circonférence (plus grande caldeira en activité au monde). En son centre culmine à 1506 mètres, le Naka-dake … volcan de type « gris » (nuées ardentes) dont les dernières éruptions ont eu lieu en 1979, 1984, 2005 et 2007 … des touristes y ont laissé leur peau ! Même pas peur nous y grimpons d’un pas assuré.
Après 45 minutes de dur labeur, un spectacle grandiose s’offre à nous ! Au fond du cratère, un lac sulfureux d’un bleu turquoise intense lâche des fumeroles de gaz hautement toxique (asthmatique s’abstenir). Plantés comme des champignons autour du cratère, des bunkers ont été construits pour protéger les touristes en cas d’éruption. Autour du cratère c’est un véritable paysage lunaire. Autour du cratère la terre est très fertile. Nous admirons les tapis d’azalées en fleur et la forêt de conifère.
Petit déjeuner toujours japonais (les articulations nous font tous autant mal !).
Aujourd’hui nous prenons la direction d’Aso-San, une gigantesque caldeira de 128 km de circonférence (plus grande caldeira en activité au monde). En son centre culmine à 1506 mètres, le Naka-dake … volcan de type « gris » (nuées ardentes) dont les dernières éruptions ont eu lieu en 1979, 1984, 2005 et 2007 … des touristes y ont laissé leur peau ! Même pas peur nous y grimpons d’un pas assuré.
Après 45 minutes de dur labeur, un spectacle grandiose s’offre à nous ! Au fond du cratère, un lac sulfureux d’un bleu turquoise intense lâche des fumeroles de gaz hautement toxique (asthmatique s’abstenir). Plantés comme des champignons autour du cratère, des bunkers ont été construits pour protéger les touristes en cas d’éruption. Autour du cratère c’est un véritable paysage lunaire. Autour du cratère la terre est très fertile. Nous admirons les tapis d’azalées en fleur et la forêt de conifère.
Des rizières par centaine découpe le fond de la caldeira.
Pour nous reposer, c’est bien mérité, nous filons vers Kurokawa, pour tenter l’expérience des Rotemburo (bain chaud en plein air). Nous tombons par hasard sur un rotemburo traditionnel et plein de charme. Hommes et femmes séparés, nous nous baignons au milieu d’une forêt de bambou et de confère agrémentée de chants d’oiseaux et du bruit du ruissellement de l’eau.
Pique-nique Japonais au milieu de la forêt et dodo dans notre nouveau Minshuku (chambres d’hôte).
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