1er Jour 15 mai
Atterrissage à Tokyo Narita, à l‘heure, après un survol de l’océan pacifique : 9h20 heure locale.
Passage à la douane et à l’immigration sans problème… et même le passage à la caméra infrarouge (pas de grippe AH1N1). Un aéroport grand luxe d’une propreté irréprochable. Pas une poussière (c’est peut-être un peu exagéré). Récupération des bagages. On ne lésine pas au japon sur la main d’œuvre, 2 personnes avec des gants blancs sont chargées de mettre de l’ordre sur le tapis roulant des bagages. Un toutou anti-drogue mène son maître par le bout de la laisse.
Atterrissage à Tokyo Narita, à l‘heure, après un survol de l’océan pacifique : 9h20 heure locale.
Passage à la douane et à l’immigration sans problème… et même le passage à la caméra infrarouge (pas de grippe AH1N1). Un aéroport grand luxe d’une propreté irréprochable. Pas une poussière (c’est peut-être un peu exagéré). Récupération des bagages. On ne lésine pas au japon sur la main d’œuvre, 2 personnes avec des gants blancs sont chargées de mettre de l’ordre sur le tapis roulant des bagages. Un toutou anti-drogue mène son maître par le bout de la laisse.
Direction Tokyo : Nous avons réussi du premier coup à acheter nos billets et même plus, à prendre le bon train. 2120 Yens pour 2 passagers pour se rendre à Asakusa en moins d’une heure et demi.
Arrivée à Asakusa station. Opération, trouver l’hôtel. C’est chose faite après 2 tours du quartier. Un quartier animé où un festival se prépare.
Première difficulté, la mamie à l’accueil ne parle pas du tout l’anglais… et nous pas un mot de Japonais. Heureusement que le langage des signes est universel. Nous avons compris qu’il fallait revenir à 3 heures pour prendre la chambre. Ouf, elle accepte de garder nos bagages.
Nous voilà maintenant partis au milieu du festival.
Arrivée à Asakusa station. Opération, trouver l’hôtel. C’est chose faite après 2 tours du quartier. Un quartier animé où un festival se prépare.
Première difficulté, la mamie à l’accueil ne parle pas du tout l’anglais… et nous pas un mot de Japonais. Heureusement que le langage des signes est universel. Nous avons compris qu’il fallait revenir à 3 heures pour prendre la chambre. Ouf, elle accepte de garder nos bagages.
Nous voilà maintenant partis au milieu du festival.
Midi sonne et nos ventres gargouillent. Nous allons faire notre première expérience culinaire. Parmi les nombreux stands, nous en choisissons deux :
Chou au poulpe et un méli-mélo de pâte à crêpe, choux, pâtes, œufs, crevettes et viande… De quoi nous caler toute l’après-midi.
Chou au poulpe et un méli-mélo de pâte à crêpe, choux, pâtes, œufs, crevettes et viande… De quoi nous caler toute l’après-midi.
Un grand tour plus tard, il est 15h, nous pouvons prendre la chambre et surtout une bonne douche (nous en avons bien besoin).
Après ce requincage, direction le parc de Ueno à pied. Nous passons devant une multitude de magasins d’ustensile de cuisine et nous avons envie de tout acheter (nous sommes limités à 20Kg par bagages malheureusement même si nos 2 sacs ne pèsent que 17Kg cumulés).
Nos pieds se souviennent du retour…
Malgré cela nous retournons au festival. Nous avons la chance d’assister à un défilé de Geisha et autres costumes traditionnels. Heureusement que Thierry fait parti des grands afin de prendre les photos. Laurence n’est pas en reste et se faufile partout avec son caméscope.
Après ce requincage, direction le parc de Ueno à pied. Nous passons devant une multitude de magasins d’ustensile de cuisine et nous avons envie de tout acheter (nous sommes limités à 20Kg par bagages malheureusement même si nos 2 sacs ne pèsent que 17Kg cumulés).
Nos pieds se souviennent du retour…
Malgré cela nous retournons au festival. Nous avons la chance d’assister à un défilé de Geisha et autres costumes traditionnels. Heureusement que Thierry fait parti des grands afin de prendre les photos. Laurence n’est pas en reste et se faufile partout avec son caméscope.
Avec tout ça, 19h sonne et c’est l’heure des shirashis (poissons crus sur riz vinaigré). Les meilleurs du monde ! De retour à l’hôtel (20h), nous nous sommes écroulés sur le futon. 2h30 plus tard, Laurence se réveille en sursaut… Il est 10h30 du mat’ crie-t-elle ! Non non, il n’est que 22h30. Voici les premiers effets du décalage horaire.
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