dimanche 7 juin 2009

Les bonnes choses ont une fin le 05 juin !


Cliquer sur la carte pour visualiser notre itinéraire.

Après plus de 300 km en ferry, 1 500 km en voiture, 2 000 km en train, 1 000 km en avion … sans compter les 10 000 km qui séparent Paris-Tokyo, les centaines de kilomètres en métro, 1 km en funiculaire, 500 m en téléphérique, 3 km en taxi, 60 km en bus ….




Des kilomètres de bonheur !




Direction la Chapelle sur Erdre via Copenhague et Paris.








Dernier jour à Tokyo le 04 juin

Journée Shopping et MAXI SUSHI dans le quartier Asakusa ! Nous dépensons nos derniers Yen !



Sushi entamé par Laurence ...


Hakone le 3 juin

Dernier jour d’excursion avant notre départ.
Nous prenons les trains en direction d’Hakone… Plus de 3h30 de transport pour s’y rendre !
Métro, Train express (pas si express que ça), train local de montagne puis funiculaire et enfin téléphérique.




Arrivés à plus de 1000 mètres d’altitude, nous découvrons le mont Fuji et la vallée de l’enfer : Owaku-dani. Un paysage ravagé, couleur de bronze, hanté par les fumerolles et une roche transformée en argile laissant échapper des odeurs d’hydrogène sulfuré (odeur classée par le ministère de l’environnement parmi les 100 premières odeurs du Japon)… Ben c’est pas du Coco Chanel ;-). Cette vallée émergea il y a plus de 3000 ans suite à une explosion volcanique du mont Kamiyama.


Mont Fuji






Laurence en profite pour goûter la spécialité locale, le Kuro Tamago : œufs noircis suite à leur immersion dans l’une des sources d’eau bouillonnante sulfurée. Même pas mal au ventre !






Retour sur Tokyo à 19h00, heure des sushis !

Marché de Tsukiji le 2 juin

Ce matin, buffet japonais en guise de petit déjeuner ! Avec au menu, saumons, brocolis, algues, tamago (omelette), saucisse, haricots fermentés (que nous ne toucherons pas !), riz, œuf … et pour la note européenne café et jus d’orange.

Départ pour le marché de Tsukiji au sud de Tokyo, le plus grand marché aux poissons au monde. Une vrai fourmilière : plus de 50 000 personnes (mareyeurs, grossistes, clients), 32 000 véhicules entrent et sortent de ces halles quadrillées d’allées à perte de vue … Chaque jour 2 500 tonnes réparties en 450 espèces transitent par ce marché … On comprend pourquoi les océanes se vident de leurs poissons …

Nous apercevons thons, chinchards, sardines, poulpes, bonites, maquereaux … que de belles pièces prêtent à être transformées en sushi ! Malheureusement, nous n’avons pas pu assister à la criée. Le marché est maintenant accessible aux visiteurs qu’à partir de 9h00 …

Nous y restons un peu plus d’une heure et nous en ressortons exténués. Il y a beaucoup de bruit, il faut rester vigilant pour ne pas se faire écraser par les chariots électriques qui foncent à tombeau ouvert mais aussi éviter de déranger les mareyeurs avec leurs bras chargés de caisses à poisson.





















Nous déjeunons dans un fast food japonais : nous choisissons notre plat et payons à un distributeur automatique. Avec nos tickets, nous allons au comptoir et en deux temps trois mouvements, nous sommes servis d’un copieux bol de nouilles !

Nous consacrons l’après midi à quelques emplettes et au transfère de nos bagages d’un hôtel à un autre.

Pour le dîner, comme d’hab … sushis !