Levé 7heure ! Le petit déjeuner n’attend pas. Il s’agit de notre premier petit déjeuner typiquement japonais : soupe miso, œufs brouillés avec salade, tofu, navet et concombre et riz sans oublier le thé vert. Très copieux pour des européens, cela pourrait suffire pour la journée. Le tout dégusté accroupis sur des tatamis devant une table basse … Difficile de se relever après cela… aïe les articulations… pour plus tard : se remettre à la gym !
Direction Ibuzuki à la pointe méridionale de la péninsule de Satsuma. 3 heures plus tard à une vitesse moyenne de 80 km, nous voilà enfouis dans un bain de sable chaud volcanique, réputé soigner les névralgies, rhumatisme et autres douleurs. Revêtus d’un simple Yukata (sorte de kimono) – nus comme un ver sous le Yakata - nous nous sommes fait ensabler par des mamies adroites à manier la pelle. L’eau qui jaillit sous la plage infuse le sable d’une vapeur à 55°C qui se charge de minéraux marins. La chaleur et la sudation accélèrent la circulation sanguine favorisant l’élimination des toxines.
Seconde étape : les bains chauds et le sauna. Hommes et femmes séparés car toujours nus comme des vers ! Abandon du Yukata. Petite précision le sauna est à 85°C ! De quoi adopter la Zen attitude.
Direction Kagoshima avec un petit détour par le lac Ikeda réputé pour des anguilles géantes.
Seconde étape : les bains chauds et le sauna. Hommes et femmes séparés car toujours nus comme des vers ! Abandon du Yukata. Petite précision le sauna est à 85°C ! De quoi adopter la Zen attitude.
Direction Kagoshima avec un petit détour par le lac Ikeda réputé pour des anguilles géantes.
Arrivée à Kagoshima, Laurence décide de changer radicalement le planning des prochains jours. Ce ne sera plus Miyasaki, Beppu, Aso San, Kagoshima mais Aso San, Beppu, Kagoshima et Yakushima… Petit stress pour Thierry car il faut annuler, modifier et réserver les hôtels. Et comme tout le monde le sait les japonais parlent un anglais parfait … Autant dire que dans l’île Kyushu, personne ne parle anglais !!
Au secours Miwako ! Nous cherchons un point internet pour lui écrire un mail !
Trouver une place pour se garer dans le centre de Kagoshima n’est pas affaire facile. Nous décidons de nous garer sur un parking payant et à notre grande surprise, le gardien, un p’tit papi très sympathique tout souriant nous dit de laisser la voiture avec les clés sur le contact. En France, nous nous serions esclaffés ! Après une recherche infructueuse d’un cybercafé (Ah le japon n’est-il pas le berceau de l’informatique !), par désespoir, nous demandons à un hôtel qui nous accueille gracieusement et nous propose son accès wifi. En prime, nous recevons une lingette pour une nettoyer les mains ainsi qu’une spécialité glacière de Kagoshima ! Rien à redire sur l’hospitalité japonaise !
Nous prenons à nouveau notre courage à deux mains pour la réservation du ferry pour Yakushima, ces mêmes mains qui nous servent à nous faire comprendre … cela n’a pas changé, les japonais ne parlent toujours l’anglais pas mais un japonais impeccable.
Il faudra 15 à 20 minutes pour nous faire comprendre. La réservation est prise sur un petit post-it rose… la confiance règne.
Sushi, Sashimi et Tempura puis retour à Kirishima dans notre trou perdu au sommet des montagnes. Félicitation à Thierry pour la conduite de nuit !
Au secours Miwako ! Nous cherchons un point internet pour lui écrire un mail !
Trouver une place pour se garer dans le centre de Kagoshima n’est pas affaire facile. Nous décidons de nous garer sur un parking payant et à notre grande surprise, le gardien, un p’tit papi très sympathique tout souriant nous dit de laisser la voiture avec les clés sur le contact. En France, nous nous serions esclaffés ! Après une recherche infructueuse d’un cybercafé (Ah le japon n’est-il pas le berceau de l’informatique !), par désespoir, nous demandons à un hôtel qui nous accueille gracieusement et nous propose son accès wifi. En prime, nous recevons une lingette pour une nettoyer les mains ainsi qu’une spécialité glacière de Kagoshima ! Rien à redire sur l’hospitalité japonaise !
Nous prenons à nouveau notre courage à deux mains pour la réservation du ferry pour Yakushima, ces mêmes mains qui nous servent à nous faire comprendre … cela n’a pas changé, les japonais ne parlent toujours l’anglais pas mais un japonais impeccable.
Il faudra 15 à 20 minutes pour nous faire comprendre. La réservation est prise sur un petit post-it rose… la confiance règne.
Sushi, Sashimi et Tempura puis retour à Kirishima dans notre trou perdu au sommet des montagnes. Félicitation à Thierry pour la conduite de nuit !
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